VIDÉOS ÉPIQUES
Chers gouvernants, vous pouvez disparaître : La Lumière revient en Force !
Mes très chers gouvernants, vaniteux et perfides.
Ce message est pour vous, détonant et lucide
D’avance je le sais, vous vous reconnaîtrez
Vous ne nierez même pas les crimes perpétrés
Nous ne sommes pas dupes de vos actes insensés.
Nous y voyons très clair en vos manigances et
Vous allez voir maintenant : le temps est révolu
Où nous nous laissions faire par des hurluberlus
J’ai longtemps voulu croire que vos agissements
Étaient incompétences ou simples égarements
Mais vos dernières brimades signent la réalité
D’une vile stratégie dénuée de moralité
Et d’un machiavélisme derrière vos actes inouïs.
Toute humanité en vous s’est-elle évanouie ?
L’avez-vous donc troquée contre un pouvoir doré ?
Au nom de faux dangers et crises sanitaires
Vous tuez, bâillonnez, et cherchez à faire taire
Ce qui est en chacun, en chaque chose, le plus noble.
Et vous vous abaissez à des actions ignobles
Pour mettre sous votre joug toutes ces âmes si belles
Comme si vous cherchiez à, de nous, faire des rebelles
En distillant la peur, la haine et la souffrance
Vous croyez étouffer toutes nos espérances
Ignorez-vous vraiment les lois de l’univers
Qui font que des printemps succèdent à chaque hiver ?
Vous vous êtes attaqués à un puissant symbole
En massacrant des vaches et leur progéniture.
C’est toute l’humanité, le vivant qu’on immole
C’est la beauté sacrée des mères de la Nature
Que vous annihilez par des lois innommables
Réduisant à néant le plus inestimable.
Quand vous criez aux mères d’être prêtes au sacrifice
D’envoyer leurs enfants à une guerre étrange
Nous savons maintenant que c’est un artifice
Pour nous inoculer un poison qui dérange
Vous distillez la peur, la souffrance et la haine
Vous croyez nous mater par des lois inhumaines
Mais nous ne sommes pas dupes de votre petit manège
Et sachez que bientôt y’aura un grand ménage.
Vous voulez faire de nous, un docile bétail
Qui courbe l’échine sans aucune bataille
Vous semblez oublier un tout petit détail.
Plus vous tuez le vivant plus il revient en force
Et déchaîne en chacun une puissance féroce.
Parce que dans les lois alchimiques du vivant
Ce que vous étouffez, va jaillir activant
La puissance d’un feu salvateur et hurlant
Une immense vague d’énergie déferlant.
Tout le plomb que vous soufflez est un terreau d’or
En massacrant les vaches, vous réveillez Hathor
Notre mère cosmique, prêtresse et mentor
Cette déesse antique que nul matador
Ne pourra mater d’un quelconque mirador.
Même si vous nous tentez d’un factice veau d’or.
Notre puissance réside dans un Athanor
Face à vos fourberies sa puissance nous honore.
Et toutes vos mesquineries que la sagesse ignore,
Ne sont que le prélude à votre propre mort
Vous en prenant aux mères, au nerf de la paix
Vous ne le saviez guère mais vous avez signé
L’arrêt de mort de votre infâme gouvernance
Car les femmes s’élèvent face à votre répugnance.
Vous prônez l’état de guerre, de terreur et d’urgence
Vous pervertissez et pornographiez l’enfance
Cela génère en nous une sainte résurgence
Celle de l’état de grâce, de beauté et d’Amour.
Car les lois de l’univers stimulent toujours
Une force motrice opposée à une ombre
Vous nous livrez la mort et la peur en grand nombre
Vous récolterez la vie dans toute sa vaillance
Vous distillez haine, tension et séparation
Vous obtiendrez Amour, tendresse et communion.
Quand vous massacrez le féminin et l’enfance
Le féminin sacré dans toute sa puissance
Revient d’entre les morts, en force irrésistible.
Sagesse Force et beauté deviennent invincibles.
Votre rôle de l’ombre stimulant la Lumière
Est désormais fini, clôturé, tout derrière.
Votre fonction abjecte n’a plus de raison d’être
Nous vous saluons, maintenant vous pouvez disparaître
Vous avez généré une vague puissante
De connexion au vrai, au sacré de la vie.
Une quête intense, noble, et grandissante
D’amour , de beauté et de joie assouvie
Ce sont vos vilénies qui les font exister
Vous savez l’essentiel maintenant n’est qu’à un pas
Et si jamais vous cherchiez à y résister
Vous le savez bien, vous n’y résisterez pas.
Car nul ne peut régner durablement sans cœur.
Malgré toutes ces offenses, ces massacres du vivant
Je saurais transmuter toutes mes vaines rancœurs.
Et ma saine colère, en vous invectivant
Car c’est le temps du sacre de la beauté sacrée
Nos sursauts de conscience y sont tout consacrés
Vous êtes bienvenus dans l’ère de l’Amour.
A condition de lâcher votre égo pour toujours
Et de voir en nous vos égaux en toute circonstance.
Pour mettre fin enfin à tant d’inconsistance.
Comme vous nous sommes venus sur cette étrange planète
Pour jouir de la vie, avec l’Amour aux manettes
Il y a de la place pour tous, la vie est une danse
Merci pour vos secousses, pour moi point de vengeance,
Je ne vous hais point, non je vous plaindrai toujours
Car il faut être bien sec pour mépriser l’Amour
Là c’est la fin des frousses, et le début de l’abondance.
Car toutes vos privations réveillent la quintessence
La civilisation mérite sa renaissance
Avant de vous quitter, juste un dernier rappel
Des mécanismes et des lois universelles
Le rôle de l’ombre est de dé-voiler la lumière
L’heure a donc bien sonné la fin de votre ère
Ceci est mon message, clair, calme et debout :
Vous n’êtes pas nos maîtres, vous êtes arrivés au bout.
Désormais seuls Vie Joie et Amour me gouvernent
Et tout le reste n’est que pure baliverne
Le réveil de la puissance néo-Atlante : Sagesses et Technologies au service de l'Amour - partie 1/6
Le réveil de la puissance néo-Atlante : Sagesses et Technologies au service de l'Amour - partie 2/6
Le réveil de la puissance néo-Atlante : Sagesses et Technologies au service de l'Amour - partie 3/6
Le réveil de la puissance néo-Atlante : Sagesses et Technologies au service de l'Amour - partie 4/6
Le réveil de la puissance néo-Atlante : Sagesses et Technologies au service de l'Amour - partie 5/6
Le réveil de la puissance néo-Atlante : Sagesses et Technologies au service de l'Amour - partie 6/6
Inscrivez-vous au Cours GRATUIT
Je HAIS le spam. Votre email ne sera jamais partagée